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09/03/2009

APPEL A MANIFESTER LE 19 MARS 2009



PLUS QUESTION D’ATTENDRE !
PLUS QUESTION D’ACCEPTER !



Les manques d’effectifs, de moyens, de lits et de places, l’absence de reconnaissance professionnelle, les conditions de travail constamment dégradées,
Les salaires et les grilles qui stagnent, la remise en cause de nos statuts et le non respect de nos droits,
Les plans de retour à l’équilibre, les suppressions de postes, les licenciements de contractuels...

Voilà la vie quotidienne des personnels des établissements de santé

LES SALARIES DE LA SANTE EN ONT RAS LE BOL !!!!!!!

Ils l’ont prouvé en participant massivement aux grèves et manifestations de 2008
et tout dernièrement à celle du 29 JANVIER 2009

A ce jour, la seule réponse du ministère aux revendications des personnels c’est le projet de loi « HOPITAL PATIENTS SANTE TERRITOIRES » dite loi BACHELOT qui frappe de plein fouet les établissement de santé.

Le 18 février 2009 lors du « sommet social »,
la Confédération FORCE OUVRIERE a exigé du gouvernement l’ajournement de ce projet de loi.

LA FEDERATION DES PERSONNELS DES SERVICES PUBLICS ET DE SANTE FORCE OUVRIERE, et L’UNION NATIONALE DES SYNDICATS FORCE OUVRIERE DE LA SANTE PRIVEE ne peuvent se satisfaire de l’absence de réponses à leurs attentes en termes de salaires et de conditions de travail. Elles appellent tous les salariés à poursuivre et à amplifier la mobilisation face au mépris affiché pour la santé publique et les personnels qui s’y consacrent.

LE 5 MARS 2009
PAR LE BIAIS DE RENCONTRES AVEC LES DECIDEURS LOCAUX ET LA SIGNATURE DE PETITIONS CONTRE LA LOI « BACHELOT »

LE 19 MARS 2009
EN SE DECLARANT GREVISTE ET EN DEFILANT EN MANIFESTATION
AVEC TOUS LES SALARIES DU PRIVE COMME DU SERVICE PUBLIC.

ENSEMBLE POUR EXIGER :
De véritables augmentations de salaires, des effectifs et de moyens permettant d’assurer des soins de qualité.
L’arrêt de tous les licenciements.
L’ajournement du projet de Loi « Hôpital Patients Santé Territoires »

Tous ensemble le jeudi 19 mars

Tous ensemble le jeudi 19 mars
en grève et dans les manifestations

Après la mobilisation réussie du 29 janvier, le Président de la République a été amené à s’adresser à la population afin de présenter les différentes mesures qui, selon lui, vont permettre de contrer les effets de la crise.

Pour Force Ouvrière on est très loin du compte.

Ainsi la nécessité de mettre rapidement en place une véritable relance de la consommation est toujours refusée. C’est pourtant une urgence sociale et une obligation économique. Plus de salaires, des minima sociaux et des retraites en hausse c’est ce qui permet de soutenir l’activité économique et l’emploi en remplissant les carnets de commande des entreprises.

Pour le gouvernement comme pour le patronat ce n’est jamais le moment d’augmenter les salaires ! Quand la croissance est là il ne faut pas pénaliser la compétitivité et quand la récession s’installe il ne faut pas gêner les entreprises !

Dans les faits celles-ci ne sont d’ailleurs pas mises à contribution, en particulier celles qui réalisent des profits records.

Le gouvernement dit vouloir protéger, au nom de la justice, les plus touchés par la crise mais ce sont des mesurettes éclatées, limitées à la seule année 2009 et qui oublient beaucoup de monde. C’est par exemple le cas des chômeurs dits âgés qui ne peuvent plus bénéficier de l’AER (Allocation Equivalent Retraite) et qui de ce fait se retrouvent au minimum social.

Alors que le gouvernement est hyper réactif et très généreux quand il s’agit d’aider les banques et les entreprises il fait la sourde oreille quand il faut soutenir les salariés, la consommation et l’emploi. Résultat : non seulement la crise s’aggrave, le chômage s’envole, mais les inégalités sociales explosent. On nous parle de répartition des richesses mais c’est de la communication !

Pour toutes ces raisons le 19 mars la mobilisation doit monter d’un cran.

Il faut amplifier la pression pour faire entendre nos exigences et nos revendications plus que légitimes.

- Augmentation générale des salaires, minima sociaux et retraites, dans le privé et dans le public.

- Un moratoire (gel) des licenciements.

- Abrogation de la loi TEPA qui plombe les recettes de l’Etat et des organismes sociaux et qui favorise les plus riches.

- Arrêt de la RGPP et des suppressions de postes dans la fonction publique.

09/02/2009

L'hôpital de Mantes à Paris le 29 janvier

divers 022.jpg Les grévistes de Mantes en compagnie du secrétaire général FO santé